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William Preira 2h24 au marathon de Paris et la gamme Dissolvurol

RENCONTRE AVEC WILLIAM PREIRA, 18ème du marathon de PARIS 2014 en 2h24

A 39 ans, William Preira réalise un joli coup d’éclat au marathon de Paris en pulvérisant son record personnel d’une dizaine de minutes. Avec un temps canon de 2h24, il se classe 18ème, figurant ainsi parmi les tout meilleurs spécialistes français. Cette performance est d’autant plus savoureuse  que sa préparation a été perturbée par une blessure persistante.

Pour vôtre deuxième marathon, vous avez réalisé une préparation digne d’un athlète de très haut niveau. Quel était votre plan ?

Bien que je cours régulièrement toute l’année, j’ai augmenté considérablement la dose d’entrainement 3 mois avant l’épreuve pour arriver à 11 sorties hebdomadaires. Je m’entrainais ainsi bi-quotidiennement  tous les jours sauf le week-end. Un footing le matin à 5 heures, puis un autre pendant la pause déjeuner au travail. Seules les séances de piste sont effectuées le soir, tandis que le dimanche est réservé à la sortie longue. Quand la sensation de fatigue était trop importante, je m’accordais un jour de repos le samedi.

Avec ce programme chargé, vous avez très vite ressenti une douleur tenace au tendon d’Achille. Que s’est-il passé ?

En effet, j’ai beaucoup souffert des tendons d’Achille durant ma préparation, au point de remettre en cause ma participation à ce marathon. Le calvaire a commencé très tôt, à partir du moment où j’ai augmenté le kilométrage. J’avais très mal le matin en me levant, la douleur s’atténuait souvent à l’effort puis revenait de plus belle après l’entrainement. Malgré la prise d’anti-inflammatoire je ne parvenais pas à me défaire de ces tendinites et j’ai vraiment douté de ma capacité à aller au terme de mon défi.

Vous réalisez finalement une performance de niveau internationale, comment êtes-vous venu à bout de ces douleurs tendineuses ?

Les deux mois qui ont précédé la course, j’ai commencé un protocole avec 3 produits du laboratoire Dissolvurol. Ce laboratoire propose de la silice sous forme de gouttes à diluer dans sa bouteille d’eau, et aussi de gel, avec lequel je me massais les tendons après chaque entrainement. J’ai également pris de l’Algicuivre en comprimé pour soulager mes articulations. Après une semaine d’utilisation, je ne ressentais plus aucune douleur  tendineuse à l’effort, et quelques jours plus tard, je n’avais plus la moindre gêne même à froid. Les produits Dissolvurol m’ont ainsi accompagné jusqu’à la ligne de départ du marathon, et surtout permis d’encaisser tous ces kilomètres avalés à l’entrainement.